Il faut sauver le monastère des Dominicains

Nous croyons l'agrandissement nécessaire, mais nous croyons aussi que le projet proposé en lieu et place du monastère est une erreur. Le monastère est un bâtiment solide et intéressant. Il peut poursuivre sa route au profit des générations futures et il peut être recyclé pour des usages contemporains et contribuer ainsi à l'essor économique de la ville dans le respect des principes du développement durable.

Le projet actuel du Musée, en annonçant la destruction du monastère des Dominicains, en est tout le contraire. La sagesse aurait commandé que soit proposé un site plus respectueux des richesses historiques de la ville et que soit reconstruite la toiture originale si spectaculaire, sur le monastère, provoquant de ce fait une renaissance de l'esthétique de l'ensemble conventuel et, partant, de la Grande Allée.

En annonçant la démolition du monastère, les autorités donnent un fort mauvais signal. Alors que la mission du Musée est de sauvegarder les collections d'oeuvres et d'artefacts qui sont représentatives de la production des générations successives de Québécois, voilà qu'avec une arrogance béotienne il anéantit totalement un patrimoine religieux conventuel irremplaçable.

Ont signé ce texte: Marcel Junius, Marcel Masse, Michel Bonnette, Jean Cimon, Jacques Lemieux, André Marceau, Claude Paulette

publié dans le Devoir le 28 avril 2010

Monastère des Dominicains

Je me permets de recopier un texte de Michel Bonnette, urbaniste, sur l'importance de sauvegarder le monastère des Dominicains sur la Grande allée à Québec. Il s'agit d'un monument important de notre patrimoine collectif qui contribue à la beauté et au charme de Québec. Sa destruction, inutile et non nécessaire, serait une perte désolante.

Je veux vous parler aujourd'hui d'un ensemble de très beaux bâtiments de la Grande Allée dont l'un a malheureusement perdu ses toitures spectaculaires lors d'un tragique incendie survenu en plein hiver. On lui reconnaît non seulement une grande qualité esthétique mais aussi une remarquable unité stylistique. La façade avant s'ouvre sur la Grande Allée et l'arrière sur les Plaines. On se laisse rêver qu'on pourrait y aménager un beau jardin. Vous croyez sans doute que je parle ici du Manège militaire n'est-ce pas? Eh bien, détrompez-vous, je parle de l'ensemble des Dominicains dont le monastère, comme le manège, a perdu sa belle apparence depuis que ses élégantes toitures ont été détruites par un incendie dramatique, à l'hiver 1939. II faut les reconstruire comme il faut absolument sauver d'une démolition annoncée cet ensemble monastique presque centenaire que l'historienne de l'architecture, Denyse Légaré, décrit comme «remarquable par son unité stylistique» dans un rapport qu'elle a préparé sur le sujet en 2001. Ce n'est pas un ensemble architectural insignifiant. Drôle de situation où le gouvernement du Québec lance un ultimatum au gouvernement du Canada l'enjoignant de réaliser au plus sacrant la restauration du manège alors que lui-même, propriétaire du monastère, s'apprête à autoriser sa démolition! Faites ce que je dis et non ce que je fais! Citoyens, il faut stopper cet autre acte d'appauvrissement culturel et économique avant qu'il soit trop tard.

Michel Bonnette, urbaniste
Québec

en danger de mort

Je vous présente le magnifique monastère des Dominicains sur la Grande Allée à Québec. Ce bijou de notre patrimoine est toujours solide et a fière allure. Il sera détruit pour faire place à un cube de verre mal adapté à notre climat, trop petit, trop loin du musée actuel (il s'agit d'une agrandissement pour le musée national des beaux arts) et d'une architecture tout compte fait plutôt quelconque. Bref, il n'y a aucune AUCUNE raison valable pour détruire le monastère. Le musée est au milieu d'un parc, il y a beaucoup d'espace tout autour pour construire une annexe et ce sans détruire le monastère dont la valeur historique et patrimoniale est indéniable.

Modification proposée:

Source de l'image

Vêtements faits au Canada

Trouver des vêtements faits au Québec est un véritable parcours du combattant. L'offre semble diminuer d'année en année et ce même pour les vêtements dit de marque. Ce chandail "fait au Canada" a été acheté chez Terra Nostra. Ils offrent quelques vêtements faits au Canada mais malheureusement, comme partout ailleurs, ceux-ci sont difficiles à trouver dans l'océan de vêtements chinois. Leurs collections sont urbaines, jolies et, relativement, abordables.

Fait au Canada pour Terra Nostra, Montréal

Jolie maison à vendre

Source des photographies

Je n'ai jamais compris pourquoi tant d'agents immobiliers prennent de mauvaises photos. Voilà, il me semble que c'est un élément plutôt essentiel de leur travail. Celles-ci ne mettent pas la maison en valeur et sont mêmes floues...
Mais bon...

La vue semble tout de même magnifique. J'adore les plafonds à caisson, la gallerie et les lucarnes. Une maison traditionnelle dans le sens le plus pur du terme. Elle est tout simplement magnifique. Le paradis pour moins de 400 000$ (le prix me semble tout de même un peu élevé).


Berthier sur mer, 379 000$

Chocolat!

A 2$ le 35g (en solde) c'est un petit plaisir relativement abordable. La barre a un fort goût de chocolat et des morceaux de noix de coco véritables. Il n'y a pas d'arôme artificiel, de produits chimiques douteux, d'OGM ou de gluten que des produits naturels. De plus, contrairement à d'autres produits faits ici, Theobroma est en vente partout, donc très facile (peut-être trop :)) à trouver. J'ai aussi essayé banane et framboises mais je reviens toujours à la noix de coco.

Pour ce qui est du chat, il est "fait au Mexique" mais ça c'est une autre histoire...


Fait au Québec par Theobroma chocolat, Québec

Belles maisons anciennes.

Trois-Rivières, par un jour de printemps pluvieux

Souliers faits au Québec

Ça va mal... En cherchant "souliers faits au Québec" le premier lien est... ce site!

La braderie de mode québécoise

L'édition printemps-été de la braderie aura lieu du 15 au 18 avril au Marché Bonsecours. Voilà une occasion en or de faire de bonnes affaires tout en encourageant les créateurs d'ici. La liste d'exposants annonce un évènement très prometteur! Comme toujours faites attentions aux étiquettes (créé au Québec ne veut pas dire fait au Québec) et bon magasinage.

Il n'y a pas si longtemps...

Aujourd'hui ce doit être pour nous un sujet d'orgueil et d'encouragement que de pouvoir compter des maisons canadiennes à la tête de plusieurs branches importantes de notre commerce. Aux chefs de ces maisons vous devez, nous devons tous un tribut de reconnaissance nationale. Ils ont relevé le caractère de notre race aux yeux des étrangers et de nos compatriotes d'adoption, en même temps qu'ils seront un exemple et un sujet d'émulation à plusieurs des nôtres. Et si par harsard cet entretien parvient à nos suivants, apprenons-leurs qu'en l'an de grâce 1852, nous avions dans Québec, tenant le permier rang dans leurs branches respectives, les grandes maisons Langevin, Masson, Thibodeau & Cie, de Méthot, Chinic, Simard & Cie, de L. & C. Tétu, de Ls. Bilodeau, de J. & O. Crémazie, et d'autres dont on pourrait faire une mention honorable.

Étienne Parent 1852

Le début de la fin pour la souveraineté alimentaire

Nos belles terres arables seraient vendues au plus offrant... Voir l'article de Radio-Canada ici.

Plusieurs pays avec une forte croissance démographique cherchent à acquérir des terres agricoles hors de leurs frontières, avec en toile de fond la crise alimentaire. Cette quête conduit notamment des entreprises chinoises à s'intéresser à des terres arables au Québec.

C'est ainsi que le producteur de porc Pierre Désoudry, à Saint-Valérien-de-Milton, s'est vu offrir de vendre ses terres. « Ils m'ont dit combien tu veux? Combien ça vaut là les porcheries, la maison, tout », raconte-t-il.

...

La Fédération de l'Union des producteurs agricoles (UPA) de Saint-Hyacinthe s'inquiète de cette tendance. « Si ce phénomène arrive, c'est clair que c'est la catastrophe pour l'agriculture, parce qu'ils vont prendre le contrôle de l'agriculture du Québec », estime Réjean Bessette.

Les agriculteurs demandent l'aide du gouvernement pour éviter que le phénomène ne prenne de l'ampleur. « Depuis 39 ans que je suis en agriculture, c'est la première fois que je vois autant de détresse de la part des agriculteurs », note le représentant de l'UPA

Nos campagnes se vident, l'étalement urbain s'intensifie, nos vieilles granges tombent en ruine. Le métier d'agriculteur est sous valorisé, sous payé et très difficile. Les employés qualifiés et motivés (ou tout simplement travaillants) sont introuvables et on doit les faire venir du Mexique ou autre pays d'Amérique latine. (Ce sont d'ailleurs des gens exceptionnel et je leur lève mon chapeau).

La nourriture est un besoin essentiel. On veut quoi comme pays, comme société, comme culture, comme alimentation?

Pladoyer pour notre culture publique commune

PLAIDOYER

Ce plaidoyer se fonde sur une position fondamentale : la société québécoise telle que nous la connaissons mérite de durer en tant que bien commun. Nous parlons donc d’un acquis qui existe dans l’espace et le temps. Il ne s’agit nullement d’une utopie que nous souhaiterions inventer ou construire, mais d’une civilisation qui existe, la nôtre. Nous jouissons de bonnes institutions et d’une culture publique commune trop souvent méprisées par nos élites, mais grâce auxquelles nous avons survécu et progressé jusqu’à aujourd’hui.

Quelle est cette culture qui nous a soutenus et nourris ? La réponse, pour nous évidente, est qu’il s’agit de la tradition culturelle gréco-latine et judéo-chrétienne telle qu’héritée de l’Europe et modulée par quatre cents ans d’expérience en Amérique du Nord, et en particulier au Québec. Cette tradition, nous devons continuer à la vivre, à la nourrir, à la protéger et finalement à la transmettre aux nouveaux venus dans nos communautés : nos enfants et ceux qui choisissent librement de se joindre à nous, c’est-à-dire les immigrants.

« Au Québec, affirment les auteurs du Manifeste pour un Québec pluraliste, l'État élabore les normes collectives indépendamment des groupes religieux ou de conviction. Il exerce sa neutralité en s'abstenant de favoriser ou de gêner, directement ou indirectement, une religion ou une conception séculière de l'existence, dans les limites du bien commun. » En réalité, notre tradition occidentale, qui est à la fois religieuse et séculière, n’a pas été inventée par l’État : c’est au contraire cette tradition qui est le ressort principal de la notion de bien commun telle que nous la connaissons, c’est elle qui a informé l’État de la nature du bien commun, c’est elle qui a engendré les principes et les institutions à la source de nos droits et libertés, c’est elle qui inspire notre sens de la dignité et de la justice sociale, c’est aussi elle qui nous a apporté les valeurs de discipline et de travail à l’origine de notre prospérité. Tous ces biens, si précieux, nous pouvons les comparer aux fruits d’un arbre plein de vigueur. Que nous cessions un jour de préserver et de nourrir ses racines et il ne donnera plus de fruits. N’oublions pas que cet arbre est le produit d’au moins cinq mille ans d’efforts, de créativité, de souffrance, de sagesse accumulée et de courage. Au fond, nos intellectuels et nos professeurs proposent de remplacer un arbre vivant par des conceptions abstraites nées de cerveaux aussi intempérants qu’imprudents.

Lorsque nous nous interrogeons sur nos valeurs, il faut répondre fermement que ce sont celles de la tradition gréco-latine et judéo-chrétienne telles que vécues chez nous depuis quatre cents ans et, ailleurs en Occident, depuis deux mille ans. Les auteurs de ce manifeste ont d’ailleurs tort de nier qu’il existe au Québec « une majorité silencieuse qui n'aurait jamais renié ses valeurs traditionnelles, représentant notre véritable identité ». Pour au moins une génération encore, ce sera le cas. Il n’est pas nécessaire, comme écrivent en se moquant nos auteurs, de pratiquer une sorte de « symbiose mystique » pour parvenir « à déceler le contenu véritable des valeurs de cette majorité ». Ces valeurs font partie de la culture publique commune qui alimente, parfois inconsciemment, les paroles et les gestes de la majorité de nos concitoyens. Autrement, nous n’aurions pu agir collectivement pour édifier et maintenir cette société distincte, certes, mais occidentale, puisqu’il n’y a point de société sans culture publique commune.

Ces valeurs, issues de la civilisation occidentale, ont contribué à l’érection d’une société suffisamment prospère, libre et accueillante pour recevoir les immigrants et partager avec eux les bienfaits de cette culture. À ces gens venus d’ailleurs, il incombe de connaître et d’accueillir cette riche tradition, non seulement pour eux, mais pour les immigrants qui viendront dans l’avenir, afin que ceux-ci bénéficient à leur tour des mêmes bienfaits.

Respecter nos lois et nos chartes ne suffit pas pour être pleinement intégré à notre communauté nationale. Il faut en outre avoir été initié à la tradition gréco-latine et judéo-chrétienne, que ce soit au sein de sa famille, à l’église ou à l’école. Ainsi peut-on devenir un membre actif et responsable de notre société. Ainsi est-on capable de tracer des limites lorsqu’il le faut, en refusant par exemple l’euthanasie, le voile intégral ou la polygamie. Ce vaste corpus occidental, une fois intériorisé, nous permet d’exercer une pensée critique, et l’on peut dire que la possibilité même de critiquer la tradition qui nous a formés est l’un de ses bienfaits les plus inestimables.

Il est vrai, comme l’écrivent les auteurs du manifeste, que nos « droits et libertés » sont davantage qu’un « ensemble désincarné de normes », que celles-ci soient énoncées dans une charte ou dans un autre catalogue mis en circulation par l’État. Mais où s’incarnent-ils, ces droits et ces libertés, sinon dans une tradition toujours vivante, tradition qui est, pour nous en Occident, plus transcendante que les agissements d’autorités temporelles faiseuses et défaiseuses de chartes ? En effet, on le sait, nos gouvernements ne se gênent pas pour modifier les chartes selon leur bon plaisir !

Nous tenons de cette tradition notre liberté de conscience et de religion, les droits inviolables des parents quant à l’éducation de leurs enfants, l’ensemble de nos libertés municipales et scolaires, ainsi que les franchises, droits et privilèges des villages, des villes, des régions, sans parler de l’institution même de la société civile : c’est au nom de cette tradition que nous condamnons sans appel le cours obligatoire d’éthique et de culture religieuse, un cours qui viole nos droits et libertés. Non seulement ne faut-il plus enseigner ce cours à l’école primaire et le rendre facultatif au secondaire, il faut plus généralement remettre l’école à la société civile et insister pour que le niveau secondaire offre des cours d’histoire et de littérature dans lesquels le canon occidental et l’expérience québécoise qui en est un surgeon seront mis en évidence. Toutes les écoles, laïques ou confessionnelles, doivent par conséquent prodiguer un enseignement tenant compte de la tradition occidentale, toutes doivent respecter un programme éducatif minimal incluant l’histoire et les littératures américaines et européennes.

Les Québécois sont « ouverts à la diversité » et ont su appliquer un « authentique vivre-ensemble » depuis longtemps. Il est scandaleux que des fonctionnaires et des universitaires au service de l’État veuillent leur faire la leçon, eux qui n’ont pas la décence de s’identifier haut et fort à une tradition dont ils auraient dû être les plus fermes défenseurs. Les véritables gardiens des valeurs québécoises ne se trouvent ni dans les universités, ni dans les ministères du gouvernement du Québec, mais dans la société civile, où des citoyens ordinaires, des pères et mères de familles, transmettent à leurs enfants, envers et contre tous, des coutumes, des valeurs, des principes qu’aucune charte ne saurait résumer sans trahir : cette tradition vivante, inscrite dans le cœur et dans la chair autant que dans l’esprit de milliers de gens simples et bons, restera, nous le craignons, toujours inaccessible à nos spécialistes de l’ingratitude laïque et obligatoire.

Jacques Brassard, Alma

Gary Caldwell, Sainte-Edwidge

Richard Décarie, Montréal

Patrick Dionne, Montréal

Jean Renaud, Québec

Ce bout de tissu...

Selon une certaine journaliste, le niqab, ne serait qu'un bout de tissu...

Dans le même ordre d'idée, pourrait-on affirmer que:
-la croix gammée n'est qu'un symbole géométrique;
-l'étoile de David n'est qu'un écusson
-l'excision des petites filles n'enlève qu'un petit bout de peau
-les affiches "interdit aux noirs" ne sont que des morceaux de papier avec des lettres dessus
-la politique "don't ask don't tell" de l'armée américaine n'est qu'une simple forme de politesse?

Je préfère ne pas connaître la réponse...

Après ce sera quoi???

L'affaire du hidjab c'était à l'école Louis-Riel à Montréal il y a de cela un peu plus de 15 ans, en 1994. L'année de l'ADQ et des prépérations pré-référendaire...

À l'époque, l'histoire avait fait coulée beaucoup d'encre et la majorité, silencieuse, était derrière l'école et supportait l'interdiction du hidjab en classe. Depuis ce temps la société a beaucoup changée. L'immigration s'est intensifiée à un rythme très rapide dans le monde occidental, au Canada et particulièrement au Québec. Il y a eu la montée de l'islamiste au niveau mondial, le 11 septembre, la chute des talibans, l'invasion de l'Irak, le réchauffement climatique, la démocratisation d'internet et en 2010 les journalistes on une petite larme à l'oeil lorsq'une femme veut porter un costume de fantôme en public pour se rapprocher de dieu.

Est-ce qu'on doit parler d'évolution, de régression, de changements inévitables? Je ne sais pas... Je ne sais pas où l'on s'en va non plus mais il me semble, il me semble, que ce n'est pas dans la bonne direction...

Courage Joannie

On pense très fort à toi

Canonisation du Frère André: réaction de Pauline Marois

Tel que rapporté par le Devoir (20-21 février 2010)
"comme société laïque et tolérante, le Québec doit être capable de reconnaître l'apport de l'Église catholique à son évolution historique et à nos traditions tout en étant ouvert et généreux envers les personnes issues d'autres origines et d'autres confessions religieuses"

De mémoire, c'est la réaction la plus merdique, insignifiante, politiquement calculée et stupide que je n'ai jamais entendu...

vêtements 100% faits au Québec ***en solde***

Source de l'image

Voici une boutique de vêtements 100% faits au Québec. Ils ont des vêtements pour hommes et femmes (chandails à manches longues et courtes, capris, robes etc...). Les motifs sont jeunes et enjoués. En prime, tout le site est présentement en solde! Ces vêtements 100% faits au Québec sont vendus moins chers que des produits équivalents made in China. Allez y faire un tour.

La Fabrique de messages, Saint-Jean-sur-Richelieu

Légumineuses en sauce

Tout simple, très bon et ça dépanne bien pour un repas vite fait.

Spécialités Lassonde, Saint-Damase

Site génial

SOS cuisine, un site tout simple, gratuit et très efficace. Les menus sont faits en fonction des spéciaux d'épicerie. Ils ont même une option de menu à partir de produits locaux (de mai en octobre, présentement c'est un peu la saison morte...).
Merci à Fourmi magique pour le lien.

L'intolérance des intolérants

Les tolérants se doivent de tolérer les intolérants et l'intolérance des intolérants envers les tolérants. S'ils ne le faisaient pas ils seraient eux mêmes des intolérants. Les tolérants intolérants de l'intolérance sont racistes.
Si vous comprenez expliquez-moi, car moi je n'y comprend rien M. Tomassi...

Et pourquoi pas?

J'aime bien ce carnet. Il est remplis de tout plein de petits bonheurs qui donne tout simplement le goût d'être heureux.

Alors que je fouinais dans les archives je suis tombé sur ceci qui donne aussi fortement le goût de tricoter :)


Source de la photo: Et pourquoi pas?

Ne pas acheter de choses faites ailleurs nous force à être inventifs, à faire durer ce que l'on a et à se passer de plusieurs produits qu'on considérait essentiels il n'y a pas si longtemps. Je devrais peut être passer à la prochaine étape qui est de fabriquer moi-même ce que je ne peux trouver ailleurs.

Pour la laine j'ai déjà trouvé, il ne reste que les aiguilles... et beaucoup de patience :).
À suivre...

Une autre belle ancestrale...

L'automne dernier, quelque part sur la rive-sud...

Interlude

De retour le 8 février....

Mauvaise nouvelle

Oh! pino un petit resto génial sur Cartier ou l'on pouvait trouver bonne bouffe, bons prix, ambiance sympathique et terrasse ensoleillée a fermé ses portes. Je ne l'ai vraiment pas vu venir. Aujourd'hui il y avait une affiche annonçant le futur propriétaire des lieux... Thai zone express takeout. Je suis sans voix...

En passant si on recherche cuisine canadienne sur pagejaunes.ca le premier résultat est... le restaurant Tomas Tam!

Oreiller en sarrasin

Jolis oreillers très colorés. Ils sont hypoallergéniques car remplis d'écales de sarrasin biologiques d'une moissonnerie québécoise. Les taies sont faites à Montréal par une entreprise d’insertion sociale. Mon préféré: le modèle Yohji. À 55$ (livraison gratuite) c'est un peu cher... Surtout que des oreillers on en a déjà. Je ne peux me résoudre à l'acheter (mais je le regarde de temps à autre avec beaucoup d'envie). Avez-vous cet oreiller? Est-ce que le produit en vaut la peine?


Les créations Mayukori, Montréal

Granola gourmet

Céréales granola gourmet confectionnées à Montréal avec des ingrédients locaux, biologiques ou équitables tels que des pétales de souci, de la poudre d'orme rouge, des baies de sureau et de la racine de guimauve. Très bon mais un peu cher (4,99$-5,79$ le sac de 300g). Idéal pour agrémenter du yogourt nature (lui aussi fait au Québec, bien sûr!).

La fourmi bionique, Montréal

Jolie maison à vendre

Belle ancestrale de 1870. C'est simple, j'aime tout: les murs, les plafonds, la gallerie, les lucarnes, les planchers, les armoires, les portes... Pourquoi n'en faisons-nous plus d'aussi belles?

Scott, 249 000$

Cheddar frais

Du fromage qui fait squish squish (ou couic couic c'est au choix)! Très doux et toujours frais. Le fromage est préparé à toutes les nuits et livré le lendemain, on peut en retrouver un peu partout en province (ils ont quelques points de vente dans la région de Montréal).

La fromagerie Boivin, La Baie

Salsa

Cette salsa a un bon petit goût sucré. C'est très bon, diable pourquoi les croustilles font-elles grossir...

Conserverie de la baie, New Richmond

Avoir la force et le courage de ses convictions...

Les Québécois sont chialeux, c'est presque notre sport national. Ce n'est pas mauvais en soi et c'est même plutôt sain. J'admire cependant beaucoup ceux qui ont le courage de vraiment se battre, agir et faire quelque chose de concret pour défendre leurs convictions; des personnes comme Suzanne Lavallée, une mère de 2 enfants de la région de Drumondville. Elle se bat devant les tribunaux pour avoir le droit de retirer ses enfants du cours d'éthique et de culture religieuse. Les frais associés à sa défense s'élève à plus de 100 000$. Peu importe ce qu'on pense de ce débat. On ne peut qu'admirer sa volonté. J'aimerais avoir la force d'en faire autant...

Plus d'information ici et ici.

beurre d'arachide

Peu sucré et bourré d'arachide. Comme pour tout les beurre de noix naturels, l'huile remonte à la surface et le tout est plutôt difficile à étendre. En plus paraîtrait-il que les arachides viennent de Chine... Des arachides, il s'en produit beaucoup aux É-U alors ça me surprend un peu, surtout pour un produit naturel... M'enfin. C'est correct sans plus.

Vicrossano inc, Montréal

La destruction du patrimoine architectural de Québec

Pourquoi les gens de Québec ont-ils élu le maire Labeaume avec une majorité si écrasante?
Ce gars là veut faire un cirque de notre ville. Pourquoi détruire ce que nous avons de plus beau pour reconstruire des immeubles banaux tel qu'on en retrouve partout?

Détruit: La chapelle des Franciscaines
Destruction en cours: La face de l'église St-Vincent-de-Paul (la démolition débute demain!!!)
Destruction aura lieu très bientôt: Le monastère des Dominicains

Je vous reviens avec des produits faits ici très bientôt. Pour l'instant je déprime...

Pas de démolition sans permis de construction!!!!

On le sait M. Labeaume veut faire de Québec une ville moderne! La destruction du patro était donc prévisible mais ça fait mal tout de même. En effet, la facade de l'église St-Vincent de Paul à Québec sera démolie lundi. Les permis de construction pour le nouvel édifice ne sont même pas accordés. On y fera un hôtel de luxe. Éventuellement, peut-être. En attendant on aura un beau trou vide. À Québec ce qui nous manque c'est des logements et des condos pas des hôtels et surtout pas des trous...

Le Soleil, complaisant comme à son habitude en parle à peine. Le journal semble se préoccuper davantage des problèmes de circulation que cela causera pour 1 semaine. Cet article plutôt décevant est l'oeuvre d'Isabelle Mathieu
Selon sa bio disponible sur le site du journal:

Curieuse de tout, Isabelle Mathieu n'est jamais aussi heureuse que sur le terrain, en train de fouiller pour trouver la nouvelle, avec l'heure de tombée la plus serrée possible! Diplômée en journalisme de l'Université du Québec à Montréal, elle pratique le métier qu'elle adore depuis 1996.

Il me semble que ça ne colle pas. La destruction patro aurait méritée mieux de la part d'une telle journaliste, beaucoup mieux....

Jean-Simon Gagné a écrit un article beaucoup plus humain sur le sujet. On peut le lire ici.

Cours d'éthique et culture religieuse

Du carnet: Pour une école libre au Québec

Avis aux intéressés : lundi le 25 janvier à 9 h 30, à la Cour d’appel de Montréal, plusieurs requêtes dans le dossier de l'affaire Drummondville contre l'imposition du cours d’éthique et culture religieuse seront débattues. L'évènement est ouvert au public.

Adresse: salle Pierre-Basile-Mignault, 100, rue Notre-Dame Est à Montréal. Prenez note que les visiteurs sont fouillés à l'entrée du Palais de justice.

Plus de détails ici.

Ourson Béké-bobo

Un ourson magique. Il va au congélateur comme au micro-onde pour soulager ecchymose, maux de tête, maux de ventre, douleurs articulaires... L'ourson n'est ni trop petit, ni trop gros et peut s'emmener partout. Il est composé d'un mélange unique de céréales et de camomille.

Fait au Québec par:
Boutique Mère Hélène, LaSalle

Questions sans réponse

À tous ceux qui disent: Moi je ne peux pas acheter des produits québécois mon budget ne me le permet pas.

Question 1: Avez-vous vraiment un budget?
Question 2: Les produits québécois que vous n'achetez pas parcequ'ils sont trop chers vous les trouvez où?

Pour la question 1, je vous réfère à Ça coûte un bras. Mon carnet coup de coeur. Un carnet très terre-à-terre, pratique et humain sur l'économie domestique et la gestion financière.

La deuxième question est plus difficile à répondre. Selon mon expérience, les produits québécois ne sont pas nécessairement plus chers, surtout en ce qui concerne les produits alimentaires, mais ils sont diablement difficiles à trouver, pour ne pas dire introuvables. Le mythe du produit québécois trop cher semble toutefois très répandu. Il vient d'où ce mythe? Quels sont ces fameux produits québécois trop chers? Où les trouvez-vous?

Sonnettes à vélo peintes à la main

Pour des raisons un peu hors de notre contrôle nous pratiquons la simplicité involontaire. On n'a pas beaucoup de sous deplus chez nous c'est tout petit. Il y a plusieurs produits québécois que je trouve très intéressants mais comme on n'en a pas vraiment besoin, je peux difficilement en justifier l'achat. J'ai donc décidé de créer cette nouvelle catégorie "Trouvailles" qui présente des trucs que j'aimerais avoir mais que je n'ai pas personnellement essayés. L'information vient surtout des sites internet des fournisseurs.

La première de ces trouvailles:



Une jolie sonnette à vélo en métal émaillé peinte à la main à Montréal! DringDring propose une multitude de modèles de sonnettes tous plus colorés les uns que les autres et peuvent aussi faire des commandes corporatives.

Dringdring, Montréal

Ail

Ail savoureux du Québec, certifié biologique par Écocert Canada. Les gousses ont une belle couleur aux accents violets.

Vallée des Prairies, Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud

91, de l'Aqueduc
Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud, G0R 3A0
Tél. : 418 259-7105
Téléc : 418 259-2417
Courriel : bio@valléedesprairies.com

Pourquoi ne pas acheter de produits faits au Québec... La suite.

Extrait d'un article de la Presse sur Louis Garneau
Les caractères gras sont de moi

Dans les années 90, il s'est fait critiquer pour avoir transféré une partie de sa production en Chine, comme d'autres l'avaient fait avant lui dans le secteur manufacturier en général et les vêtements en particulier. Il dit même avoir perdu de l'argent parce qu'il a retardé sa décision de transférer une partie du travail de ses couturières. «On était rendus à dessiner des vêtements avec le moins d'accessoires possible, moins de coutures, alors que tout le monde faisait plein de fantaisies. Les gens disaient Garneau, c'est correct, mais pas très sophistiqué.»

Aujourd'hui, les critiques semblent oubliées. Il s'attarde davantage sur les avantages que lui procure la délocalisation d'une partie de sa production. «La Chine nous permet d'aller plus vite, d'engager des gens (ici) qui ont des idées et de les faire faire (en Chine) par des gens extrêmement expérimentés... On tombe dans des usines où ils travaillent pour les meilleures marques cyclistes. Donc, on tombe à un niveau qu'on n'aurait pas pu atteindre, nous, avant cinq ans ou six ans.»


Comme quoi créé au Québec ne veut pas nécessairement dire fait au Québec...

ps: Pourquoi les Québécois ont-ils la mémoire si courte? (Est-ce qu'il y a encore quelqu'un qui se rapelle du scandale dans le domaine de la construction?)

Baguels

Excellents baguels faits à la main par avec des ingrédients naturels. Un Bügel est le meilleur truc à attraper à la course lorsqu'on n'a pas le temps de déjeuner. Ils font aussi des croustilles de baguels qui remplacent très bien les craquelins.

Bügel, Fabrique de bagels, Québec

Eau minérale pétillante

**Ajout** Je devrais mieux vérifier mes sources. Eksa est aussi une eau minérale produite au Québec. Peut-être la compagnie Saint-Justin est la seule propriété de Québécois?

Un luxe à prix abordable. Cette eau est mise en bouteille à la source. Il s'agit de l'unique eau minérale pétillante produite au Québec.


Saint-Justin, Saint-Justin

Jolie maison à vendre *VENDUE*

Belle maison de style Renaissance canadienne. On aime: le foyer, la cuisine, les planchers de bois franc partout, les divisions intérieures et le lavabo bleu :).

Saint-Augustin-De-Desmaures, 339 000$

Produits faits au Québec dans les circulaires cette semaine

Métro:
Laitue boston de serre: 1,99$
Veau de lait du Québec: 3,99$/lbs
Crevettes nordiques: 8,99$/lbs
Filets de maquereaux: 3,99$/400g
Fromage Saint-Paulin: 2,29$/100g

Brunet:
Jus Oasis: 0,99$

IGA:
Chou pointu: 1,29$
Bettrave: 0,99$/2lbs
Panais: 1,99$/lbs
Fromage le P'tit Saint-Damasse: 5,99$/175g
Crème sure Liberté: 2,50$/500g
Fromage cottage Liberté: 2,50$/500g
Beurre Lactantia: 3,99$/lbs
Essuie-tout Cascade: 5,99$/6
Craquelins Leclerc: 2$
Barres tendres Leclerc: 2,50$
Gâteaux Vachon: 1,99$
Légumes surgelés Arctic Garden: 2,99$


Quelles sont vos trouvailles pour cette semaine?

Canneberges séchées

Le plus difficile, c'est les fruits. Au moins en été, il y a des poires, des prunes et toutes sortes de petits fruits frais. Mais là, en janvier, c'est un peu le désert...

Ma diète fruitée se limite aux bleuets congelés, aux pommes et aux canneberge séchées. Les canneberges Fruits d'or sont bonnes au goût. J'aime particulièrement celles-ci sucrées au jus de pommes. Les canneberges Nutra-fruit ont elles un goût correct mais un peu particulier auquel il faut s'habituer (peut-être en raison des oméga-3 qu'on y ajoute?).

Fruit d'Or, Notre-Dame-de-Lourdes

Sirop de poires et crème d'amélanchier

Nous n'avons pas encore ouvert la crème d'amélanchier mais le sirop de poires est délicieux. Il a un bon petit goût léger. C'est un peu sucré (c'est un sirop après tout) mais le sucre ne cache pas le goût de poires. Pour les avoir déjà rencontré les Pedneault sont super sympathiques. Ils ont une entreprises dynamique et familiale comme on les adore. Ils font partie du réseau des économusés avec l'économusé de la pomiculture.

Vergers Pednault, Îsle-aux-Coudres

ps: les carottes, les pommes de terre et les oignons jaunes que l'on peut voir en arrière-plan sont aussi du Québec. Pour ce qui est du gros livre, c'est l'encyclopédie de la cuisine canadienne de Jehanne Benoît.

Fromage bleu

L'Ermite, un excellent fromage bleu, digne des meilleurs fromages d'Europe et en plus il est fait ici.


Les fromages de l'Abbaye, Abbaye de Saint-Benoît-du-Lac

Pizza surgelée

Une très bonne pizza qui déborde de garniture et de goût. Incroyable mais vrai: la pizza ressemble vraiment à ce qu'il y a sur la photo! Mium. :)

Les aliments Bégin, Saint-Ludger

Le plus difficile avec l'achat de produits québécois c'est de les trouver. Ils existent mais sont peu disponibles et le plus souvent cachés dans une manne de produits faits ailleurs. Il y a aussi l'étiquette "préparé pour" qui peut aussi bien vouloir dire que le produit a été fait à Hochelaga-Maisoneuve ou au Zimbabwe...

Pour les vêtements c'est particulièrement difficile. Mais là j'ai vraiment (vraiment) besoin de linge...

Le site Collection Montréal est dédié au soutien à l'exportation de vêtements fabriqués au Québec. C'est un peu bizarre de devoir se tourner vers un site d'exportation dans une démarche d'achat local mais bon...

Je vais essayer de passer au travers les fournisseurs mentionnés dans le site au cours des prochains jours. Je vous ferai part de mes découvertes.

Le mépris des Québécois pour eux-mêmes me dégoute...

Les granos urbaines est un carnet que je lis à l'occasion car elles parlent parfois de produits locaux. Ce n'est pas évident de trouver des produits fabriqués au Québec et toutes les sources d'information que je puisse trouver à ce sujet sont les bienvenues.

Leur dernier billet me laisse perplexe. Coudon on a-tu le droit d'exister???? Il nous faut accepter, et même adopter, toutes les différentes cultures (à défaut d'un meilleur mot...) mais nos particularités culturelles à nous sont risibles, innaceptables encore pire HONTEUSES.

Diable je n'ai pas mangé de jambon depuis des lunes mais en lisant leur billet, j'ai le goût en torrieux!

Respire... Respire...

Jolie maison à vendre

Plusieurs rénovations de goût douteux (A-t'on idée de mettre de la céramique partout dans une maison ancienne?)... A tout de même un beau potentiel. On adore la gallerie qui fait tout le tour de la maison et les poutres de plafond visibles.

St-Cyrille-De-Wendover, 239 000$

Produits faits au Québec dans les circulaires cette semaine

Familiprix:
La mère poule, aliments pour bébé 6X 59ml: 5,99$
Annabelle, rouge à lèvre: 5,99$

Proxim:
Nu Nature, produits de beauté: toute la gamme est en solde!
Incognito, serviettes hygiéniques format double: 4,99$

Métro:
Pomme de terre Russet, sac de 10lbs: 1,50$
Yogourt brassé Yoplait 4 X 100g: 1$
Petits gâteaux Vachon: 1,79$
Carotte ou oignons jaunes sac de 5lbs: 2 pour 4$
Tomates rouges en grappe: 2,99$/lbs
Fromage l'ancêtre biologique 200g: 5,99$


Quelles sont vos trouvailles pour cette semaine?

Miel

Le Québec ne produit peut-être pas de sucre blanc mais on fait du miel délieux! À n'acheter que des produits québécois (et parfois canadiens et nord-américains) on en vient à être très inventifs.

Celui-ci vient du Musée de l'abeille à Château Richer. Un musée fort sympatique. Les enfants aimeront beaucoup la station de dégustation de miel et de voir les abeilles au travail.

Papier hygiénique

Fait au Québec par:
Cascades, Candiac

Vert, québécois et abordable :)

Fait à 100 % de fibres recyclées (avec une majorité de matériel post-consommation). Fabriqué avec 80 % moins d'eau que la moyenne de l'industrie. Séché par un des combustibles les plus propres - le gaz naturel. Blanchi sans chlore.
Emballage majoritairement composé de plastique recyclé et recyclable.

Tuque

Fait au Québec par:
Blank, Montréal

Le design, le tissu, la coupe et toutes les étapes de fabrication des vêtements Blank sont faits au Québec. Des vêtements de qualité, à coût abordable, verts et éthiques, on adore! Ils font aussi des vêtements pour enfants et bébés.

Résolutions pour la nouvelle année

101 choses à faire en 2010 et peut-être un peu plus tard (101 choses en 1001 jours)
Ou quoi faire si quelqu'un n'a rien à faire :)

1) Boire plus d'eau
2) Apprendre à patiner
3) Lire tout plein de livres (3-51): Les boeufs sont lents mais la terre est patiente, Pierre Falardeau
4) Histoire de l'insurrection au Canada, Louis-Joseph Papineau
5) Maria Chapdeleine, Louis Hémon
6) Les rapaillages : vieilles choses, vieilles gens , Lionel Groulx
7) Histoire du Canada , François-Xavier Garneau
8) L'hiver de force, Réjean Ducharme
9) Casse et autres nouvelles, Jacques Renaud
10) Voyages de découverte au Canada entre les années 1534-1542, Jacques Cartier
11) Québec qui se fait, Claude Ryan
12) De Race de monde au Bleu du ciel, Victor-Levy Beaulieu
13) Les anciens canadiens, Philippe-Aubert de Gaspé
14) Poésies complètes 1896-1899, Émile Nelligan
15) Journaux de guerre et de prison, Louis Riel
16) Regards et jeux dans l'espace : et autres poèmes, Hector de St-Denys Garneau
17) Cantouques & cie : choix de poèmes, Gérald Godin
18) Lettres d'un patriote condamné à mort, Chevalier de Lorimier
19) Blocs erratiques, Hubert Aquin
20) Frontenac / textes choisis, Louis de Buade Frontenac
21) Genèse de la société québécoise, Fernand Dumont
22) La rage, roman, Louis Hamelin
23) Les héritiers de Papineau : itinéraire politique d'un "nègre blanc", 1960-1985, Pierre Vallière
24) Québec, Maurice Séguin
25) Canadians et Canadiens : études sur l'histoire et la pensée des deux Canadas, Michel Bunet
26) Le matou, Yves Beauchemin
27) Gabrielle Roy, Bonheur d'occasion
28) Sur le seuil, Patrick Sénécal
29) Pour en finir avec octobre, Francis Simard
30) Volkswagen Blues, Jacques Poulin
31) un homme rapaillé, Gaston Miron
32) La petite loterie : comment la Couronne a obtenu la collaboration du Canada français après 1837, Stéphane Kelly
33) La bataille de la mémoire : essai sur l'invasion de la Nouvelle-France en 1759, René Boulanger
34) Paulina. Roman des temps apostoliques, Adolphe Basile Routhier
35) Jean Rivard, Le défricheur, Antoine Gérin-Lajoie
36) Oeuvres, Octave Crémazie
37) La chasse-galerie, Honoré Beaugrand
38) Journal d'Henriette Dessaulles 1874/1880, Fadette
39) Une saison dans la vie d'Emmanuel, Marie-Claire Blais
40) Refus global, Paul-Emile Borduas et autres auteurs FAIT
41) Le chandail de Hockey, Roch Carrier
42) C'était avant la guerre à l'Anse-a-Gilles, Marie Laberge
43) Rue Sherbrooke ouest, Alice Parizeau
44) Les relations des jésuites tome 1, Compagnie de Jésus
45) Le survenant, Germaine Guèvremont
46) Le Souffle de l'Harmattan, Sylvain Trudel
47) Les Aurores montréales, Monique Proulx
48) Chercher le vent, Guillaume Vigneault
49) La Petite Fille qui aimait trop les allumettes, Gaétan Soucy
50) Sainte-Carmen de la Main, Michel Tremblay fait
51) Les Plouffe Roger Lemelin
52) Voir 3 films de Gilles Carle (n'importe quoi sauf la postière! Des suggestions?)
53) Voir 5 films québécois au Cinéma
54) Écouter Les merveilleuses cités d'or au complet et dans l'ordre
55) Faire au moins une nouvelle recette par semaine pour 10 semaines
56) Aller aux îles de la Madeleine
57) Boire un chocolat chaud à la Boulangerie toujours dimanche
58) Courir un 10 km, un demi marathon ou un marathon (à déterminer)
59) Faire des pâtes maison
60) Faire du yogourt maison
61) Avoir 2500 visites sur le carnet
62) Apprendre à mieux écrire (Lire plus devrait aider)
63) Continuer à me simplifier l'existence et me débarasser de trucs inutiles
64) Sauver le monastère des Dominicains d'une mort absurde! (plus sur ce sujet très bientôt)
65) Faire une ceinture fléchée
66) Améliorer ma posture
67) Cesser de me ronger les ongles
68) Faire pousser une citrouille géante
69) Donner du sang... brrrrr.....
70) Faire 50 redressements assis sans devoir m'arrêter
71) Mettre XX$ de côté
72) Faire du Kayak dans le fleuve
73) Faire un testament
74) Apprendre à baragouiner une 3ième langue
75) Visiter la cathédrale Saint-Basile
76) Aller à l'église à presque tous les dimanches
77) Visiter la Minganie
78) Acheter Un serpent sous les fleurs
79) Trouver ou l'on peut se procurer des vêtements Papillons blancs au Québec (???)
80) Faire une grosse boule en origami
81) Essayer au moins 5 nouveaux fromages québécois
82) Faire la vaisselle à tous les jours, si applicable
83) Que ce carnet soit mentionné dans Cyberpresse, ruefrontenac ou radio-canada.ca
84) Faire du papier maison
85) Peindre
86) Essayer de cuisiner avec au moins cing épices boréales de Dorigina
87) Faire 10 plaintes (fondées évidement) à l'OQLF
88) Visiter la maison Lamontagne
89) Visiter 5 économusés
90) Compléter un cours de premiers soins de l'ambulance Saint-Jean
91) Faire un parcours D'arbre en arbre
92) Monter à cheval
93) Faire une retraite de une fin de semaine de silence
94) Déposer des fleurs sur la tombe de Montcalm
95) Visiter ma grand-mère au cimetière
96) Faire du fromage
97) Aller dehors au moins 30 minutes, à tous les jours
98) Faire 10 activités du Programme des loisirs créatifs
99) Élaborer un budget
100) Apprendre à conduire manuel
101) Faire une nouvelle liste de 101 choses